Jeune lionne, l’amour
Et brusquement la nature
J’ai porte la main r mon sourcil,
JEUNE LIONNE, L’AMOUR
a suate sur moi.
Elle m’avait guette, toute tendue,
depuis quelque temps dejr.
Ses blancs crocs, elle me les a enfones dans la face,
aujourd’hui la lionne m’a mordu la face.
se tourna en cercles tout autour
de moi, tantot plus large et tantot plus pres
tout comme des eaux serrees.
Et le regard jaillit en haut,
arc-en-ciel coupe en deux,
par l’ou?e aussi rencontre,
des alouettes tout pres.
r ma tempe, a mon menton aussi,
mai la main ne les reconnaît plus.
Et elle glisse inconsciemment
sur un desert rayonnant,
sur lequel passe en douceur
une lionne cuivree
aux perfides mouvements,
pour un temps
repete...